19 juin 2008

The Football Making Machine


On brade notre futur.
Ceux qui gouvernent notre sport peuvent encore s’en foutre,
Ils seront mort avant.
D’une mort lente et naturelle:
Ils auront le foi inondé par du champagne mal fermenté
et digéré du caviar pollué.
Pendant toutes les années de leurs existences schizophrènes de technocrates,
ils auront dévasté, démembré, pillé, planant en l’air… comme de vieilles charognes
guettant leur cible. Ils auront commercialisé les virages, mais combien de commerciaux vont dans les virages?
Parait t’il qu’ils n’hésitent pas à dire dans leurs open-spaces qu’ils auront notre tête, mais quand on vit sans burnes mieux vaut fermer sa grande gamelle!
L’industrie tisse sa toile.
Le problème du football business est déjà périmé, c’est de lutte indépendante dont il s’agit, et de la notre.
La tache est surhumaine mais on a pas le choix.
Il y’a 12 bactéries par centimètre cube d’air dans une couveuse, 88 000 sur les Champs-Elysées, plus de 4 millions dans un stade de football.
Mais comment font t’ils pour ingurgiter tout ça sans le régurgiter, ces porcs…(?)
Ils l‘ont dit les gars de la manif: Les supporters, dans dix ans, seront bien dans leur peau, ou n’auront plus de peau du tout.
Promis, pour la conscience, on reviendra du carré "LyonPeople" des bris de glace plein les mains ainsi qu'avec leurs têtes, sinon on perdra la notre.